Livre d’or – Trail des Coursières 2015

Voici le livre d’or du Trail des Coursières du 09/05/2015 :

LAURENT HUMBERT – 102km – 10:47:21 – Dossard 906

Merci a vous pour cette belle organisation ! Merci aussi à tous les bénévoles pour leur gentillesse ! Une très belle course, à refaire absolument…


CHRISTOPHE ANSELMO – 102km – 10:53:07 – Dossard 814

La montée au signal du St André était énorme! Merci pour ce changement, c’était bien plus fun comme ça. Un grand merci à tous les bénévoles et à l’équipe d’organisation!


PHILIPPE WAREMBOURG – 102km – 13:17:37 – Dossard 763

Je tenais à vous remercier pour l’excellente organisation et ambiance de l’ultra : très bonne organisation depuis la remise des dossards jusqu’à l’arrivée, bénévoles très sympa et aux petits soins avec les coureurs/reuses, fléchage impeccable, bref tout était très bien, jusqu’à la météo bien clémente!
Je ne sais pas encore si/quand je referai la course (j’essaie de beaucoup varier), mais je vais en faire la promotion autour de moi, en particulier avec l’option de démarrer avec le 47km avant de se lancer sur l’ultra.
Encore bravo et merci.
Sportivement,


FABIEN DANET – 102km – 14:06:49 – Dossard 746

Merci encore pour cette course de samedi dernier, toujours aussi bien organisée, balisée.
Pour ma 3ème participation à l’ultra, je savais à quoi m’attendre et je n’ai pas été déçu jusqu’au dimanche midi et la remise des prix (et l’apéro !!).
C’est super bien huilé, malgré les (nombreux) changements de parcours et l’augmentation du nombre de coureurs.
Concernant le parcours justement, il était plus difficile cette année avec plus de D+, une belle longueur (difficile à gérer) de montagnes russes entre Duerne et Saint-Symphorien mais toujours sur des chemins très agréables.
La montée du signal à la fin est absolument à garder !!
Sur le coup de la fatigue, certains n’ont pas apprécié mais le tracé un peu hors-piste est super.
Pour la traversée de Saint-Symphorien, je suis plus partagé car ça fait croiser quelques routes mais finalement, c’est le seul village autant traversé et on arrive presque plus vite au ravitaillement.
Probablement à l’année prochaine avec le cap des 300 inscrits?


DAVID MONGOIN – 102km – 14:07:07 – Dossard 883

Merci pour cette belle journée ensoleillée. Le temps, vous n’y pouviez rien mais pour le reste c’était vraiment très bien.
J’avais déjà participé en 2011 et j’ai pu me rendre compte des progrès de ce trail.
Niveau bénévoles et organisation avant, pendant et après la course c’est toujours super. Petit dèj, ravito et repas : rien à redire. Des sourires des encouragements, des remerciements des bénévoles, cela touche beaucoup. Tu comprends vite que tu as affaire à des passionnés et à des pratiquants. Ils connaissent les petites attentions qui font plaisir aux participants.
Concernant le parcours, par rapport à 2011, il est devenu beaucoup plus exigeant. Jamais de montées longues, nous sommes dans les monts du Lyonnais, mais aucun répit. Une succession de montées et descentes extrêmement usante avec contrairement à 2011 peu de tronçons ou il est possible de courir à l’économie.
Les organisateurs ont réussi à proposer encore plus de beaux points de vue et surtout d’intégrer des passages culturels (saint Symphorien sur Coise, Riverie, Château de Pluvy, La borne Cassini au sommet du Signal…).
A bientôt et bonne récupération à vous tous. L’organisation n’est jamais de tout repos et nous nous en sommes conscients.


VINCENT CHARROIN – 102km – 14:51:46 – Dossard 770

Un parcours particulièrement bien tracé, des points de vue magnifique, une organisation sans faille, des bénévoles très sympathiques. En un mot : merci


NICOLAS GAUTIER – 102km – 15:47:50 – Dossard 774

Merci à toute l’équipe d’organisation pour ce fantastique samedi.
Je garderai un super souvenir de ce 1er ultra.
Les superbes paysages traversés et, surtout, la gentillesse et l’aide des bénévoles aux ravitaillements m’ont grandement aidé dans les moments difficiles.
Ne changez rien et gardez cette convivialité et cette humanité que j’ai tant appréciées.
À l’année prochaine!


SEBASTIEN CURTAT – 102km – 16:25:34 – Dossard 856

Bonjour, voici mon petit récit de course! Encore merci pour cette fabuleuse course et organisation au top! ps: à tout hasard j’ai franchi la ligne d’arrivée aux alentours de 22h30 dossard 856 en compagnie de ma femme, si toutefois vous aviez une photo ou un bout de film de ce moment 😉 je suis preneur! Samedi 9 mai, on y est, c’est le grand jour réveille 3h45, un petit kiwi et c’est parti! Direction st martin en haut ! Arrivée sur place la pression commence a monté doucement mais surement l’attente est longue, le soleil se lève lentement et malgré tout attente la météo promet d’être radieuse! 6h du matin top départ c’est partis pour une longue très longue balade 😉 Et d’entrée de jeu, un petit groupe d’une quinzaine de coureurs se forme dont je fais partie mais hélas première boulette de la journée la voiture ouvreuse se trompe de route bilan 1km de plus et je me retrouve en queue de peloton pas de panique la route est longue. 7h30 premier point de passage st Laurent de Vaux km 15.5 pile dans mes prévisions j’avance à bon train, les sensations et le moral sont là! À partir de là, les choses sérieuses commencent ça va grimper sec. 8h30 passage à Yzeron km 22.5 et déjà plus de 1000m de D+ toujours dans mes temps prévus! On continue à grimper jusqu’au col des brosses direction Duerne où d’après le signaleur je viens de faire l’une des plus belles descentes 😉 à ce stade de la course je suis dans le top 30! Duerne km 32.5 première barrières horaires passage à 9h30 ca déroule mais après le ravito premier coup de bambou! km40 Aveize 10h45 forcement 30min de retard mais surprise au détour d’une ruelle monsieur le président de la team est là pour m’encourager.
Les 15.5 km prochains pour rallier le ravito de st Symphorien km55.5 vont être un calvaire cuisse tétanisée crampes et début d’ampoules! Mais je ne lâche rien ma petite famille m’attend avec impatience au ravito. 13h00 arrivée a st Symphorien avec une heure de retard sur mes plans mais ça relève de l’anecdote puisque qu’à partir de ce moment je suis large sur les barrières horaires, du coup petite pause en famille et soin des petit bobos et c’est reparti pour le plus dur. A peine ressorti du ravito et en avant les côtes ça grimpe ça grimpe! La chaleur devient étouffante et dur pour l’organisme mais les paysages sont magnifiques. Le moral est toujours bon mais la fatigue commence à se ressentir km 67.5 arrêt obligatoire au ravito direction la croix blanche mes pied me font souffrir de plus en plus! Résultat 20min de perdu on refait le plein et en avant Simone direction la montée de st Catherine un beau morceau mais finalement le plus drôle c’est qu’avec l’état de mes pieds j’avance plus vite dans les côtes km 78 ste Catherine 17h15 à partir de ce moment-là impossible pour moi de courir en descente mes pieds me lancent de plus en plus. KM92 19H45 dernière barrière horaires et petite pause soupe vermicelle hummm celle-là c’est la meilleure. Sortie du ravito : on attaque la fameuse surprise des organisateurs le fameux raidars de la mort qui tue, une grimpette droit dans le gras au milieu des broussailles qui va être terrible merci les bâtons sinon j’y serais encore! Après cette belle côtes le plus dur est passé…heuuuu non plus que 6km de descente vers l’arrivée mais mes amis les crampes et ampoules me rappellent la distance que j’ai déjà parcourue il est 21h la frontale s’impose et ces derniers km vont être interminables, impossible de courir même sur le plat et je ne parle pas des descentes qui deviennent un calvaire pour les pieds. À ce stade vitesse moyenne 20min au km je vois plus le bout de ces put…de descente je suis seul comme un gland au milieu de nulle part comme une grande partie de la course d’ailleurs, les km n’avancent plus je me demande même si ma montre ne recule pas! Mais soulagement j’entends au loin le speaker et au bas de la dernière descente sous un éclairage tel un ange j’aperçois ma chérie qui m’attend depuis plus de 2h30 le temps qu’il m’a fallu pour parcourir les 10 derniers km. A cette instant c’est que du bonheur la ligne est à 500m main dans la main je franchis la ligne d’arrivée avec ma vie mon amour quel plus beau cadeau. 16h26 plus tard 2 pied une cheville et un genou en moins 30 000 calories perdu et 4kilo en moins sur la balance me voilà finisher du 102km 1 an après mes débuts en course à pied happy


OLIVIER GEORGEL – 102km – 16:31:48 – Dossard 771

Un grand merci aux organisateurs et aux bénévoles pour cette très belle édition de l’Ultra des Coursières 2015.
Habitué des trails, j’ai rarement vu un accueil et une disponibilité aussi grands de la part des bénévoles : sourire, gentillesse, dévouement… une équipe aux petits soins pour les coureurs !!
Un bémol : une distance trop importante entre les ravitos de Duerne et St Sym, ou trop courte entre Yzeron et Duerne… Au choix. Si on pouvait équilibrer, ce serait bien.
Merci encore et à l’année prochaine.


DOROTHEE SIMON – 102km – 16:58:55 – Dossard 737

Magnifique course! Orga au top! Merci pour cette belle journée de trail


JEAN-MARC GUYON – 102km – 17:11:16 – Dossard 721

Merci à tous et à toutes pour cette merveilleuse épreuve et surtout un petit clin d’oeil à l’équipe de secouristes qui m’ont permis de finir ces 102 Km.
Encore Bravo pour tous ces encouragements.


CLARE BYRNE – 102km – 17:11:17 – Dossard 850

Bonjour aux Organisateurs et Bénévoles du Trail des Coursières 2015,
Je voudrais vous remercier pour une expérience formidable sur le 102 km samedi 9 mai. L’organisation, ravitaillements, etc. étaient TOP mais votre gentillesse, dynamisme, et support étaient incroyables. Ce merveilleux et bel esprit m’a beaucoup aidée à finir.
Un grand merci à tous et en espérant à l’année prochaine :o)
Sportivement,
Clare BYRNE (l’Irlandaise)


CLAUDE MIRODATOS – 102km – 17:19:11 – Dossard 819

Hello les amis, comme je m’y étais engagé, voici quelques notes rédigées sur cette splendide édition 2015, avec encore dans les mollets des courbatures plutôt raisonnables et dans la tête tous les sourires offerts sans compter! Merci encore à toutes et tous, et à la revoyure!
Claude

Lors d’un précédent point de vue sur le trail des Coursières, je notais que « les ATOS ont toujours des nouveautés au magasin, et pas du genre solde, qu’on se le dise! ». J’étais loin du compte avec cette splendide version 2015, profondément remaniée sur une partie de son parcours et un peu aussi sur ses portes horaires…
Mais voyons dans le désordre quelques points qui méritent commentaires, de mon point de vue, bien sûr.
Côté qualités confirmées de ce trail, il y a toujours cet étonnant accord des organisateurs avec le ciel pour nous offrir au fil des éditions des météos de rêve. La veille, une copieuse radée avait nettoyé l’atmosphère de tout pollen allergène, offrant à nos petits poumons tout le loisir de humer à fond les senteurs mêlées de cette campagne authentique (des genets en fleurs aux épandages garants de la bonne croissance des blés tendres de printemps!). Le jour même, cet air transparent d’après orage nous offrit des vues d’une finesse et précision dignes des meilleurs opérateurs en photographie panoramiques. Comme nous y incitaient gentiment certains des innombrables bénévoles, nous eûmes loisir de contempler dans la fraicheur du soir des visions saisissantes des grandes métropoles si lointaines et si proches qui ceinturent ces monts du lyonnais. La vivifiante fraicheur du matin fit tranquillement place aux tiédeurs printanières, en accord parfait avec l’harmonie de ces longs cheminements sur coursières. Et la nuit, grâce aux organisateurs qui avaient décidé de ne pas « allumer l’électricité », l’obscure clarté qui tombe des étoiles nous inonda de ses scintillements, que seule l’arrière garde du peloton eut loisir d’apprécier, au rebours des avant-gardes « go fast », aux baskets ailées, bouclant leur périple en plein jour! Tant pis pour eux !
A propos de boucle, la version 2015 fut manifestement mitonnée par les traceurs de circuit avec une gourmandise parfois un peu punitive! Un passage par Yzeron (comme lors de précédentes éditions me semble-t-il), au terme d’une première partie bien remaniée fut un choix judicieux : l’attaque des ruelles par la face Est, un peu comme l’assaut donné à la Sainte Catherine, relevait manifestement de ce désir très apprécié de nous faire redécouvrir ces anciens villages fortifiés par des cheminements quasi moyenâgeux. La nouvelle traversée de Saint-Symphorien par ses venelles tortueuses fut du même tonneau, incluant, ce qui m’a ravi, un passage devant cette stèle conçue comme un hommage à ce très vieil argentier qui avait inventé le nouveau franc en 1958 ; ça ne nous rajeunit pas!
Seulement, voilà, le prix à payer de ces escapades fut une belle croissance du D+, avec des passages dignes de certains pays où l’on dit que même les poules sont ferrées pour tenir sur ces pentes ! Vous vouliez de l’ultra, vous en aurez, mes gaillards ! En conséquence, du côté de l’arrière garde que je fréquente avec assiduité, les commentaires allaient bon train sur le grincement des portes horaires que l’on entendait de loin dans cette paisible campagne ! Je n’épilogue pas trop sur ce point, mais mon redémarrage des Pinasses dans la minute même de cette fatidique porte me rappela vaguement la crainte des punitions infligées aux mauvais élèves qui arrivaient en retard à l’école de mon enfance ! Assouplir un peu ces règles en tenant compte des dénivelés conséquents me semblerait opportun pour la prochaine édition ; mais c’est un « marronnier » pour toutes les courses, qui semble refleurir à chaque printemps et piquer un peu à chaque automne et hiver !
Côté bogue encore un peu, mes belles envolées lyriques sur la qualité des ravitos offrant par exemple cette étonnante variété de soupes aux pâtes sont un peu revues « à la baisse » cette année ! Heureusement qu’à Sainte Catherine, j’eus à nouveau le privilège d’être servi abondamment d’une goûteuse soupe par le maitre pâtier Mathis, toujours à son poste avec efficacité et compétence ! J’ai beaucoup entendu l’argument d’un contre-effet « UTMB » ! Serait-ce vraiment contre-révolutionnaire d’offrir avec des biscuits salés (ces trucs sans r) quelques mets plus consistants lors des relais « boissons » ?
Bon, allez, au-delà de ces quelques nuages vite oubliés, que cette course fut à nouveau belle et agréable à vivre ! Et comme il est bon de sentir cette étonnante chaleur des ATOS and co nous envelopper d’empathie collective si positive, tout au long de cette longue pérégrination au pays des sourires et de la gentillesse. Pas de doute, on y reviendra !
NB : j’ai eu aussi le privilège de courir de conserve avec le grand JPM en début de course, le temps d’échanger quelques anecdotes et quand le souffle vint à manquer pour moi, l’ancien patron des Coursières disparut de mon champ visuel, dans l’anonymat des coureurs ordinaires ! Et je veux bien sûr noter aussi ce vrai plaisir à revoir tous mes copains/copines de l’organisation, avec ces splendides canotiers personnalisés, qui faisaient des rondes bien rythmées sur cette rivière tranquille des Coursières, comme dans un tableau de Renoir !


SANDRA POUIT DUPUICH – 102km – 17:27:28 – Dossard 876

Récit de mon 1er ultra seule : Sandra dossard 876 finisher 17h27
Tout d’abord grand bravo à tous pour votre accueil, vos sourires, votre sympathie ainsi que l’excellent balisage tout le long du parcours.
Je me suis inscrite sur cet ultra afin de commencer ma prépa pour la CCC au niveau mental. J’avais besoin de me prouver que j’étais capable de gérer ce type d’épreuve seule.
Habitant dans la Vienne, je suis arrivée la veille pour récupérer mon dossard, j’ai donc dossard en poche, rejoint mon hôtel et vérifié méticuleusement mon sac.
Réveil à 3h45 pour être au petit déjeuner du complexe 1 heure plus tard. Je regarde tous ces coureurs qui semblent tous être des habitués de l’ultra et me demande ce que je fais là. Je ne me sens pas vraiment à ma place et regrette presque mon inscription…
5h50 ligne de départ et comme d’hab je me raisonne en me disant :
Tu ne joues pas ta vie, tu as 18 heures pour finir, ne pars pas trop vite, pense à boire et manger régulièrement, l’essentiel est de franchir la ligne d’arrivée.
6 heures départ donné.
Les 45 premiers passent très bien, je suis contente d’être là, les paysages sont magnifiques, je me sens bien et m’efforce de boire et manger un peu toutes les ½ heure pour éviter problèmes d’hypo. Je trouve que j’ai plutôt une bonne allure et j’ai passé la 1 ère barrière avec 30 minutes d’avance.
J’ai cependant un gros coup de mou après Aveize, il commence à faire chaud et je réalise et focalise sur le fait que mon litre d’eau ne sera pas suffisant jusqu’au prochain ravito dans plus de 10km…je trouve alors un point d’eau « sauvage » qui me sauvera jusqu’à St Symphorien.
2 km avant j’ai une frayeur, je regarde ma montre, suis à 7h53/55 de course et dans ma tête la barrière est à 8h ! autant dire que c’est mort ! Je me dis : c’est impossible je ne peux pas être arrêtée au 55ème, je me sens bien, je trouve que mon rythme est correct malgré les difficultés du terrain, cette barrière est trop juste…je m’imagine dire aux organisateurs : s’il vous plait laissez-moi continuer etc…j’accélère comme je peux et arrive au ravito au bout de 8h07/10 !
J’apprends alors que la barrière est à 8h30, je prends donc un peu de temps pour me ravitailler et me changer avant de repartir seule.
Je vais être encore seule pendant plus d’1h30, je finis par être rejoint par Robert qui aperçoit Dorothée quelques mètres plus loin. Nous courrons tous les 3 jusqu’à Lamure, se motivant les uns les autres.
Après Lamure je commence à être sérieusement gênée par des ampoules, Robert et Dorothée sont devant… Étant large au niveau des barrières, je prends la décision de me faire soigner par la Croix Rouge au ravito de Ste Catherine (Dorothée est en forme je la vois repartir au moment où j’arrive, je ne la rattraperai jamais, je la féliciterai à la fin car elle a atteint son objectif moins de 17 h avec brio). Cet arrêt pour soin était nécessaire pour que je puisse repartir et finir cette course sans trop de souffrance.
Mes ampoules protégées, je repars reboostée.
Je réalise que je serai finisher (car 20 km c’est rien quand on en a fait 80  : le mental ) seule bien sûr une grosse blessure pourrait me faire stopper. J’ai du punch pour affronter, avec le sourire, les derniers km qui semblent pourtant interminables .
Je suis alors avec un petit groupe qui me rassure car la traversée des bois la nuit me stresse un peu…nous discutons ce qui permet d’oublier les douleurs et angoisses…
Après la pancarte : 2 km arrivée, je me sens pousser des ailes, j’accélère alors, je vais terminer cet ultra c’est certain, j’ai réussi mon pari : je suis capable de faire une telle distance seule : victoire sur moi-même, regain de confiance (c’était nécessaire …). Une ampoule à l’orteil décide d’éclater à ce moment mais pas question de flancher si près du but, je serre les dents et arrive à Saint Martin à un rythme honorable après plus 102 km, je suis très heureuse d’être finisher en 17h27 !
Je retrouve à l’arrivée mon petit groupe de la Croix Rouge qui m’a soutenu depuis Ste Catherine, je les remercie pour leur sympathie.
L’accueil à l’arrivée est extraordinaire, merci aux organisateurs et aux bénévoles (seul petit bémol j’aurai aimé une veste finisher en taille S car elle est très jolie mais importable pour moi en L , c’est dommage car j’aurai été fière de la porter).
C’est une très belle 1ère expérience d’ultra pour moi, très beau parcours, très beaux paysages, je remercie aussi toutes les personnes qui m’ont soutenue par sms tout le long de cette formidable course.


STEPHANE RIO – 102km – 17:31:06 – Dossard 895

Un grand merci pour ce superbe Ultra Trail. J’avais participé à l’édition 2012 et les modifications apportées au tracé depuis mettent encore plus en valeur l’attrait des Monts du Lyonnais. La personne avec qui j’étais était impressionnée par la beauté et la variété des paysages traversés. L’organisation et l’accueil faits par les bénévoles sont toujours aussi parfaits.
Seul petit bémol, nous sommes arrivés peu de temps avant la barrière horaire au ravitaillement de Saint Symphorien et malheureusement nous avons dû nous contenter des “miettes” de certains produits très utiles pour poursuivre l’effort. Beaucoup de coureurs ayant arrêté et certaines personnes n’ayant rien à voir avec la course semblaient s’être bien “attablées” à ce ravitaillement. Il aurait été plus sympa que tout ce monde attende que les derniers coureurs poursuivant le parcours soient repartis avant de “passer à table”!
J’espère que je serai de nouveau de la partie l’année prochaine avec éventuellement un nouveau compagnon de route souhaitant s’attaquer à la distance.
Bonne continuation aux membres de l’association et aux bénévoles qui permettent de faire de ce trail un beau succès.
Bonne saison trail aux membres qui ont planifié des courses.


LAURENT CRETON – 102km – 17:47:11 – Dossard 790

Superbe course et une organisation au top et génial. Un grand merci aux bénévoles et à ceux qui m’ont remotivé à chaque ravito


MARTIAL BILLET – 47km – 04:18:29 – Dossard 244

Bonjour à toute l’association d’ATOS.
Merci pour ce bon week-end de course, très bien organisé, un parcourt dur mais avec de très bons points de vues, des ravitaillements super avec des bénévoles très chaleureux.
Le seul petit changement que je vous proposerais, ce serait lors de la montée au signal de ne pas nous faire passer par ce bois (balisage difficile, impossible de courir, c’est le seul endroit où je n’ai pas couru, trop stressant).
Bravo aussi pour l’arrivée dans le gymnase avec tout à côté (douche, osthéo, repas, stand, et surtout la machine à bière).
Merci aux donateurs et sponsors pour les lots de récompenses.
Je reviendrai sûrement mais je n’attendrai pas 11 ans pour recourir chez vous comme je l’ai fait cette année (dernière participation en 2004, 2ième sur un 20 km environ).
Merci encore à tous les bénévoles et en particulier à mon médecin Jean-Pierre Noiry .
A + sur des courses de la région et si vous ne savez pas quoi faire le 1ier week-end de juillet nous organisons un trail de 21km à Amplepuis.


PAUL-EMMANUEL GUINARD – 47km – 04:50:14 – Dossard 214

Mon baptême de Trail aux Coursières
Je souhaite vous remercier pour l’organisation du très beau et très chaleureux Trail des Coursières. Ce fut ma première expérience et quelle aventure !
J’ai écrit quelques mots sur mon blog: https://runpolorun.wordpress.com/2015/05/15/mon-bapteme-de-trail-aux-coursieres/#more-338
Merci encore à l’ensemble des bénévoles,


CEDRIC PERIER – 47km – 04:54:24 – Dossard 75

Pour ma 2e participation au Trail des Coursières version 47 kms, je voulais une fois de plus vous remercier, pour tout… l’organisation, une fois de plus, parfaite de l’inscription jusqu’au repas; des ravitaillements, toujours aussi bien fournis et quel accueil quand on arrive…..; du balisage, difficile de se perdre, entre rubalises, panneaux et tous les bénévoles aux intersections avec un mot gentil et un encouragement qui font toujours du bien; le parcours, peu de bitume, du dénivelé, bref un vrai trail !!! ; de l’esprit familial, que l’on apprécie tant !!!
Bref un GRAND MERCI à tous et Félicitations, pour ce bel évènement, qui reste un de mes rdv préféré de l’année, je reviendrai bien sûr en Janvier et bien entendu en Mai.

Sur facebook : Un grand merci a l’organisation, aux benevoles toujours serviable qui encouragent aux ravitos, aux intersections bref une course organisee de fort belle maniere, de l’inscription jusqu’au repas a l’arrivee. Et bien sur je reviendrais en 2016.


ROMAIN PREVOST – 47km – 05:03:41 – Dossard 231

Bravo Atos! Belle course, super tracé, bénévoles au top.